En arrivant des doigts ce témoignage dans les indissolubles liens de solidarité qui unissent entre eux les différents membres des fantastiques membres de la famille française – pour le moment, hélas, séparés comme vous dites – je ne sais pas quel sentiment me touche le plus d’une manière poignante, l’émotion de gratitude ou celle liée à la souffrance. Il est vraiment horrible de croire que c’est le jour où notre entreprise négocie, pour toute valeur en or, -les résultats difficiles et nécessaires de nos défaites l’évacuation de nos propres divisions, -pour considérer que cette leçon, cette dernière exhortation, nous sont donnés de votre part. Je ressens vraiment toutes les souffrances que vous maîtrisez en devenant obligées de compter, de réfléchir, de partager vos rêves. Je me rends compte que vous aurez besoin, comme nous l’avons fait, de vous informer que vous n’y céderez tout simplement pas. Je sais bien que vous vous répétez directement actuellement que la constance fait partie des qualités de votre race. Ah! c’est vraiment de cette situation extrême que la chère Alsace était spécifiquement requise pour l’unité française. Elle a dépeint au milieu de nous, dans le domaine de cette souplesse et de cette légèreté, qui, malheureusement, à certains moments entachent notre caractère national, elle a dépeint, je crois que, une énergie invincible. Ainsi que sur cette excellente voie d’attaque, elle était généralement identifiée comme la première et la dernière à garder la patrie! C’est pour cette raison, qu’à condition qu’elle ne résulte pas de la cellule familiale, on pourrait à juste titre dire qu’il n’y a ni France ni Europe. Néanmoins, l’heure est sévère et remplie de problèmes, en fait, il est extrêmement effrayant que lorsque nous prêtons l’oreille simplement à des éléments qui dynamisent notre patriotisme et à des souvenirs désagréables qui nous rappellent des défis extrêmement difficiles, pour le sentiment de notre solitude dans le monde, pour le souvenir des points faibles qui nous ont submergés, nous irons pour quelque extrême et renoncerons à une raison que nous pourrions mieux servir. Oui, dans notre conférence actuelle, ce qui devrait être rapporté et répété aux électeurs qui m’ont choisi – qui m’ont salué, le dernier à protester, ainsi qu’à protéger leurs droits légaux ainsi que leur honneur, – n’est en aucun cas un mot d’excitation ou d’enthousiasme, mais plutôt un message de résignation, bien que de résignation énergique. Il faut tenir compte de la situation de la France en banque, il faut la faire carrément face. À l’heure de fournir la République, que vous affiliez simplement et que vous avez toujours associée non seulement en utilisant la protection de la patrie, mais en plus de son élévation et de sa régénération, la République, dis-je, promet l’allégeance de certains par nécessité, d’autres personnes de l’intérêt, et, de la généralité des individus pratiques, des sentiments de patriotisme.